Une pièce chorégraphique et chantée
Magnificat est encore en cours de création.
Nous avons pour objectif de lancer les répétitions au cours de l’année 2025, à Paris.
D’ici là, si l’aventure vous intéresse, n’hésitez pas à nous contacter :
Synopsis
Magnificat est une pièce chorégraphique et chantée qui raconte la vie de la Vierge Marie. De sa naissance au sein du foyer de Sainte Anne et Saint Joachim, à sa lamentation au pied de la croix, puis à sa montée aux cieux. La pièce retrace grâce aux différents danseurs et chanteurs présents sur scène le parcours hors-norme de cette femme devenue femme, puis mère du Christ dans toutes ses dimensions humaines et spirituelles. Marie est représentée ici comme jeune fille ayant été élevée dans les traditions juives, modèle de bienveillance, de beauté, de grâce, de douceur, de pureté et de chasteté.
Création de la pièce
Autrice
Astrid ROBIN, 24 ans, travaille à Paris en tant que chargée de production dans l’ensemble baroque, la Chapelle Harmonique, dans le cadre de son master en alternance à l’EAC.
Chorégraphe, danseuse et actrice dans la comédie musicale In Via, entre 2015 et 2017, puis coordinatrice générale, chorégraphe et assistante metteur en scène pour Nouvelle Eve entre 2021 et 2023, sa passion pour les comédies musicales la conduit à l’écriture de cette pièce.
Persuadée que la danse est un langage aussi fort que celui des mots, elle chorégraphie pour In Via, Nouvelle Eve puis Ephata.
L’idée d’une danse sur Marie la traverse à plusieurs reprises, mais c’est après les JMJ de Lisbonne en 2023 qu’elle se décide à écrire non pas une pièce chorégraphique, mais un ensemble de pièces chorégraphiques qui formeront l’histoire de la Vierge. Animée par le désir d’allier les arts, elle ajoute rapidement à la danse, la notion de chant puis de musique, de mise en scène.
Les musiques et chansons de la pièce
Le choix artistique de l’autrice a été de faire des reprises des chansons hébraïques du temps de Marie, autant que des chansons de tradition catholique et latine. Par exemple :
Sh’ma Israël ou l’Ave Maria